mars 28, 2024

Cinquième vague de Covid-19 : quelques conseils pour passer des repas de fête plus tranquilles

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Limiter le nombre de convives, aérer les pièces, se faire tester le jour J… Le gouvernement et les autorités sanitaires multiplient les recommandations pour réduire les risques de transmission du Covid-19 pendant les fêtes de fin d’année.

Cette année encore, la pandémie de Covid-19 s’invite à la fête. Alors que la France prend la mesure de la cinquième vague épidémique, poussée par le variant Omicron, le gouvernement et les autorités sanitaires ont livré quelques consignes ;pour les festivités à venir. Pour l’exécutif, pas question de « fliquer le Noël des Français » comme s’en est défendu le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal. L’heure est à la prévention, pour empêcher à tout prix la création de « mini-clusters à Omicron » lors des réveillons de Noël et du Nouvel An. Franceinfo récapitule ces conseils, à partager sans modération.

Le repas ou la fête tant attendus approchent ? Que vous soyez vacciné ou non, il est fortement conseillé d’effectuer un test PCR ou antigénique la veille ou le jour-même. Le recours à un autotest est tout autant recommandé, si possible dans les heures qui précèdent l’évènement. Ces kits à utiliser soi-même coûtent en moyenne 5 euros l’unité.

Dans l’éventualité d’un test antigénique ou autotest positif, le Conseil scientifique recommande de confirmer le résultat avec un test PCR. Si ce dernier est positif, il faut s’isoler pendant 10 jours et alerter ses éventuels cas contact. Les autorités sanitaires conseillent aussi de se faire tester largement le 31 décembre par test antigénique ou autotest, et de réitérer le test 5 jours après.

Malgré les températures hivernales, il est toujours recommandé d’aérer les lieux de vie et de réception une fois par heure, pendant 10 minutes minimum. Une habitude prise par beaucoup de Français, qui a le mérite de limiter les risques quel que soit le variant en circulation. « Aussi bien Delta qu’Omicron se transmettent par des aérosols, rappelle Anne-Laure Crémieux, infectiologue à l’hôpital Saint-Louis (AP-HP), ouvrir régulièrement la fenêtre, c’est dissiper ces aérosols. »

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